« Quand la BD prend la mer »
Olivier Gabrielli
Président de l’association Lok’en Bulles
Ancien conseiller en organisation dans le domaine de la santé, ce retraité de 71 ans a toujours été passionné de BD… et un véritable porteur de projets ! En janvier 2017, quelques mois après avoir pris sa retraite, il a l’idée avec son épouse de créer un festival de Bande Dessinée à Locmariaquer. En décembre 2017, avec quelques amis, il crée l’association Lok’en Bulles. Habitant dans le Golfe du Morbihan depuis plus de 20 ans, Olivier Gabrielli profite aussi de son temps libre pour naviguer à bord de son voilier.
Priscilla Lopez-Mahé
Conseillère à l’agence Crédit Maritime Grand Ouest d’Auray
À la fin de l’année 2008, Priscilla Lopez-Mahé intègre le Crédit Maritime à l’accueil de l’agence de Nantes pour son premier CDI. En 2012, elle rejoint l’agence d’Auray en tant que conseillère de clientèle. De 2014 à 2018, elle travaille à Plouhinec, près de Lorient, avant de revenir à Auray début juin 2018. Priscilla a plus de 10 ans déjà de parcours professionnel au sein du Crédit Maritime. Amoureuse du Golfe du Morbihan, elle profite souvent du bord de mer en famille.
Qu’est-ce qui vous a plu dans le Crédit Maritime ?
« Lors de notre recherche de partenaires financiers, le Crédit Maritime a été l’un des rares à ne pas nous demander de contrepartie. Et j’ai senti chez eux une vraie volonté de travailler avec nous : le thème du festival les intéressait tout particulièrement. Et puis, nous avons des atomes crochus, des valeurs communes : nous partageons le même amour de la mer et de ses acteurs ! Nous avons donc décidé d’ouvrir le compte de l’association chez eux. Et je vais aussi y faire migrer mes comptes personnels, comme d’autres membres de l’association, c’est en cours. »
En quoi le Crédit Maritime est-il différent des autres banques ?
« En plus de leurs qualités relationnelles, ils font preuve d’intelligence et d’élégance. L’exposition d’affiches dans leur agence ou la prochaine réunion avec les 14 élèves concernés en sont la preuve. Ils sont à l’origine de ces initiatives. Ils ont vraiment cette volonté de sortir de leur agence, de créer des liens à l’extérieur.«
Qu’est-ce qui rend cette histoire si particulière ?
« Des établissements bancaires, j’en ai rencontré, mais des relations humaines comme celles-ci, c’est la première fois ! Ce sont des relations durables. Je ne connaissais pas bien le Crédit Maritime, j’en avais seulement entendu parler… Ils ont une magnifique connaissance du monde de la mer. Et ils ont été capables de devenir partenaires de notre projet culturel. Nous avons cette volonté commune de faire vivre notre région et de participer à son rayonnement ! »
Qu’est-ce qui vous a plu dans le projet de l’association Lok’en Bulles ?
« L’association Lok’en Bulles souhaitait organiser le premier festival de BD en Bretagne Sud, à Locmariaquer. Le thème choisi, « Quand la BD prend la mer », nous collait à la peau ! C’était un thème qui, selon nous, allait rencontrer un large public. Par ailleurs, Locmariaquer est un très beau site maritime. Pour toutes ces raisons, nous avons voulu devenir partenaires de l’événement. »
En quoi cela fait-il avancer le territoire ?
« Ce qui est particulièrement intéressant, c’est que ce festival gratuit a eu lieu à la fin de la saison. Au-delà de l’aspect culturel (24 auteurs de BD étaient présents), l’association souhaitait animer la ville de Locmariaquer, faire venir du monde et impulser une dynamique économique. Cela nous a séduits ! »
Qu’est-ce qui rend cette histoire si particulière ?
« Le très bon contact que j’ai eu avec M. Gabrielli ! Nous nous sommes rencontrés quand il est venu, mi-juillet, ouvrir le compte de l’association. Nous nous faisons confiance. M. Gabrielli nous recommande facilement. Au Crédit Maritime, nous avons spontanément renforcé notre partenariat : en plus de notre soutien financier, nous avons exposé à l’agence les affiches réalisées par les élèves du lycée des métiers d’art d’Auray (lycée professionnel Duguesclin). L’association Lok’en Bulles avait, en effet, organisé un concours auprès d’eux pour l’affiche du festival. Et nous allons bientôt programmer un temps d’échange avec ces jeunes et leurs professeurs. C’est aussi une façon de faire avancer notre territoire ! »